
Armel Guerne,
Les Romantiques allemands, Phébus libretto,
Paris, octobre 2004
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Armel Guerne |
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Armel Guerne, L'âme insurgée, Phébus,
Paris, 1977

Herman Melville, Moby Dick, traduction Armel
Guerne, Phébus, 2005
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Les Veilles du Prochain Livre. Note préliminaire de Charles Le Brun,
2000.
Journal 1941-1942
et autres textes. Préface de
Charles Le Brun, 2000.
Lettres de Guerne à Cioran, 1955-1978,
Édition établie par Sylvia
Massias, 2001
Le Livre des quatre éléments,
2001.
2005
Mythologie
de l'Homme, Danse des morts et Le Temps des
signes

"Qu'il est réconfortant de constater
que des textes, des écrits, peuvent ainsi connaître une nouvelle édition à
chaque génération ! Le Temps des signes parut en 1957 chez
Plon, les éditions de la revue Granit le rééditèrent en 1977, et voici,
pour les vingt ou trente ans à venir la belle petite édition qu'il
faudra faire circuler. Mythologie de l'Homme et Danse des
morts attendaient, certes, depuis plus d'un demi-siècle (ces deux
textes ont paru à La Jeune Parque en 1945 et 1946), mais ils n'en
apparaissent sans doute que plus frais, aujourd'hui – comme les
bouquinistes précisent d'un livre qui a vécu, dont la couverture porte
les stigmates de l'usage et du temps, qu'il présente toutefois un
intérieur frais..."
Lire la suite sur le blog de
Dominique Autié
Lettre d'Armel Guerne
à Dom Jean-Claude Nesmy, 1954-1979

Ces œuvres d'Armel Guerne sont publiées aux
éditions Le Capucin - Lagarde-Fimarcon - B.P. 8 - 32700 Lectoure :
edcapucin@aol.com
2006
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Armel Guerne, La nuit veille
(préface de Jean-Yves Masson), InTexte,
2006
[Nouveau]
"Ce qu’a tenté Guerne dans La nuit veille, et
qui en rend la lecture si saisissante et par
endroits si effrayante, c’est de s’approcher par
l’écriture de la nudité du rêve, antérieure à sa
formulation. De sorte que le récit de rêve ne va
jamais, chez lui, sans un doute permanent sur le
statut de ce récit - qui rejoint les préoccupations
les plus aiguës de cette « modernité » que par
ailleurs il déteste tant. Le rêve tel que Guerne
tente de le cerner, si l’on écoute bien le texte,
d’une oreille sensible, est en permanence l’objet
d’une traque. Ce sont ici bien souvent des rêves à
deux voix, dirait-on, l’une qui raconte, l’autre
sous-jacente, qu’on entend à peine, mais qui pose
continuellement la question lancinante : était-ce
bien cela? comment le sais-tu ? ou plutôt, pour
reprendre la formulation favorite de Guerne, comment
le sait-ON?"
Jean-Yves Masson.
Pour tout
renseignement : http://collection-orient-occident.intexte.net
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